SCIECQ, la crèche de Noël
Eglise Sainte-Madeleine
Message de Noël
Extrait d’un texte écrit par le Père Hervé PERROT – Aumônier national du Secours Catholique.
« À Noël, pendant vingt-quatre heures, la plupart des pays en guerre cessent le feu. Sapins, guirlandes, nos rues s’illuminent, la joie de recevoir et d’offrir ne serait-ce qu’un « joyeux Noël ! » ponctue nos relations. Une certaine paix « mondialisée » s’installe vingt-quatre heures. Les uns, les autres, font des efforts pour que personne ne soit oublié, et spécialement celles et ceux qui vivent la solitude, les galères.
Trêve qui nous montre notre capacité à la Joie, la Paix, la Solidarité, la Fête.
Trêve pendant laquelle nos cœurs émerveillés, nos regards écarquillés, prennent le goût de l’enfance… Si l’on est capable de transformer nos relations vingt-quatre heures… pourquoi pas quarante-huit heures, quatre-vingt-seize heures, et plus… ?
L’enfant Jésus nous est donné comme frère et ami pour construire la fraternité et l’amitié en notre monde. Que fais-tu de ton frère ? T’es où l’homme ? T’es où Dieu ? Noël, c’est ce rendez-vous de Dieu et de l’homme et du frère, pas par SMS, mais par les anges, pour les bergers, et par les astres, pour les mages.
Les premiers arrivés sont de précaires bergers qui nous précèdent sur les chemins de la rencontre : les pauvres sont ainsi nos maîtres, ils nous évangélisent, dirait notre pape, François. Dans la crèche, avec maman Marie et papa Joseph, Dieu vient à notre rencontre. Il se donne dans la vulnérabilité, la fragilité d’un enfant. Il se donne dans le silence de la nuit : « La Parole, le Verbe naît du silence. »
Osons cultiver nos rencontres au creuset des crèches de notre aujourd’hui.
Noël, ça sent bon la grandeur de l’homme, sa dignité, sa beauté, au-delà des paillettes, des étiquettes et des préjugés.
Partageons, vivons cette bonne nouvelle de Noël.
Extrait d’un texte écrit par le Père Hervé PERROT – Aumônier national du Secours Catholique.
« À Noël, pendant vingt-quatre heures, la plupart des pays en guerre cessent le feu. Sapins, guirlandes, nos rues s’illuminent, la joie de recevoir et d’offrir ne serait-ce qu’un « joyeux Noël ! » ponctue nos relations. Une certaine paix « mondialisée » s’installe vingt-quatre heures. Les uns, les autres, font des efforts pour que personne ne soit oublié, et spécialement celles et ceux qui vivent la solitude, les galères.
Trêve qui nous montre notre capacité à la Joie, la Paix, la Solidarité, la Fête.
Trêve pendant laquelle nos cœurs émerveillés, nos regards écarquillés, prennent le goût de l’enfance… Si l’on est capable de transformer nos relations vingt-quatre heures… pourquoi pas quarante-huit heures, quatre-vingt-seize heures, et plus… ?
L’enfant Jésus nous est donné comme frère et ami pour construire la fraternité et l’amitié en notre monde. Que fais-tu de ton frère ? T’es où l’homme ? T’es où Dieu ? Noël, c’est ce rendez-vous de Dieu et de l’homme et du frère, pas par SMS, mais par les anges, pour les bergers, et par les astres, pour les mages.
Les premiers arrivés sont de précaires bergers qui nous précèdent sur les chemins de la rencontre : les pauvres sont ainsi nos maîtres, ils nous évangélisent, dirait notre pape, François. Dans la crèche, avec maman Marie et papa Joseph, Dieu vient à notre rencontre. Il se donne dans la vulnérabilité, la fragilité d’un enfant. Il se donne dans le silence de la nuit : « La Parole, le Verbe naît du silence. »
Osons cultiver nos rencontres au creuset des crèches de notre aujourd’hui.
Noël, ça sent bon la grandeur de l’homme, sa dignité, sa beauté, au-delà des paillettes, des étiquettes et des préjugés.
Partageons, vivons cette bonne nouvelle de Noël.
Cette crèche est ouverte à la visite, une superbe promenade à faire en famille.
Pour cette réalisation, merci à nos amis bénévoles Marie-Claude,
Claude, Dominique et Christian, spécialiste de l'éclairage.